3rd October
2019 at Beausoleil, France
After tennis
10-12 hrs at my club and lunch at home 12-14 hrs I
went shopping with my camera in hand. Outside in
the street was a mess.
Road and public
works were going on by company EIFFAGE ROUTE
MEDITERRANEE, run by a Monsieur Cedric
MARRO, sise 52 bd Rita Roussa, 06340
LA TRINITE.
It should by law
have arranged that pedestrians like me could pass
the area Thursday 3 October to Friday 4 October
2019 from 9h00 to 17h30! He should also ensure that
we pedestrians could pass safely, etc, etc. I was
not aware of all this, so I just walked
along.
As the
pavement was wet asphalt I had to step
into the street full of cars. No police
was seen!
I took
some photos. An ambulance tried to pass
down while a big truck blocked the way up,
etc.
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Wet
asphalt
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In the
middle was a gorilla, monsieur Cedric
MARRO (?), supervising the works,
while talking on the phone. He asked me,
what I was doing. Going shopping, I said,
taking more photos. My last
photo:
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Suddenly, without
warning, Beausoleil municipal police jumped on me
from behind. I was hand cuffed and violently pushed
into a municipal police car. I asked
why.
"You are
drunk", was the reply.
Me, 73 years old
semi-retired engineer, was drunk in the street at
14.15 hrs a Thursday afternoon? I was not
drunk. I was taking photos.
I was brought to
Menton municipal police office for no (!)
questioning. I wonder if Beausoleil police man
O12P55 (they do not give their names) in
police car ABC636KC was involved. He had 25
September threatened to handcuff me/bring me to
Menton, when I complained about his behaviour in
another affaire.
I was just thrown
into a cell in my underwear. All my other
belongings were taken from me. No records were
made!
I asked the
police to call for a Swedish interpreter (I am a
Swedish citizen), to call my lawyer at Nice, my
doctor (my daughter at the hospital of Monaco), to
inform the Swedish embassy at Paris. All was
refused!
After a while the
cell door was opened and I was asked to blow into a
machine. Somebody said I was drunk! I asked them to
call my daughter again but it was forbidden! I was
drunk. Back into the cell. Then I was brought to a
hospital for a medical check-up as I was bleeding
due to the torture. I asked the doctor to call my
daughter at the Monaco hospital. No, not possible I
was told. I was drunk. There was no medical
check-up.
No blood
test!
I was soon back
in the cell. I asked why. Reply was that I was
drunk! After four hours in the cell, the door was
opened and I was asked to blow into a machine
again. I was still drunk.
All these people
mishandling me refused to tell who they were.
At 21.30 hrs the
cell door was opened by some new people - French
national police! The municipal police
had gone home. I was asked to blow into a machine
and I was told that I was not drunk. I only had to
sign some papers that I had been drunk 14.15 hrs.
If I didn't sign I was going to be locked up in the
cell again until next morning. So I signed. Then I
was kicked out into the street and walked home 8
kilometers away. Life is full of
surprises.
Next day,
Friday 4 October, there was still chaos in
the street. The roundabout got fresh asphalt!
Traffic was blocked for hours and no police was
seen but pedestrians like me could pass ...
unsafely.
I went
down to see the gorilla but only his
incompetent monkey friend was there -
talking in the phone! He recognized me
from the day before and smiled.
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I have of course alerted the mayor of Beausoleil,
M. Gérard Spinelli (7 October) and
the prefect of the Alpes Maritimes department, M.
Bernard Gonzalez, (8 October) of the
incident but I haven't heard from them. Maybe it is
normal that their police jumps on people in the
street and throws them in jail?
Am I going to be
accused according to article 689-4 of the French
CCP: the Convention on the Physical Protection of
Nuclear Material or article 689-5 of the French
CCP: the Convention for the Suppression of Unlawful
Acts against the Safety of Maritime Navigation and
the Protocol for the Suppression of Unlawful Acts
against the Safety of Fixed Platforms Located on
the Continental Shelf? I have written plenty about
these matters and various authorities dislike me
for it!
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3 octobre 2019
à Beausoleil, France
Après le
tennis 10-12 heures dans mon club et le
déjeuner à la maison 12-14 heures, je
suis allé faire les courses avec mon
appareil photo à la main. Dehors dans la rue
était un désordre. Les travaux
routiers et publics étaient en cours par
EIFFAGE ROUTE MEDITERRANEE, de Monsieur
Cedric MARRO, sise 52 bd Rita Roussa, 06340
LA TRINITE. Il devra, par la loi,
mettre en place une deviation pour les
piétons en amont et en aval du lieu
d'intervention du jeudi 3 octobre au vendredi 4
octobre 2019 de 9h00 à 17h30. Il devra aussi
mettre en place des protections aux abords de ces
travaux, afin de preserver la sécurté
des piétons. Les régles de
sécurité, le libre passage des
piétons et des vehicules seront
assurés par lui à ses frais, risques
et perils, etc.
Comme le
trottoir était en asphalte humide,
j'ai dû entrer dans la rue entre les
voitures. Pas de police en vue! J'ai pris
des photos. Une ambulance a essayé
de passer tandis qu'un gros camion
bloquait la montée, etc.
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Asphalte
humide
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Au
milieu se trouvait un gorille, monsieur
Cedric MARRO (?), supervisant les
travaux tout en parlant au
téléphone. Il m'a
demandé ce que je faisais. Faire
les courses, dis-je en prenant plus de
photos. Ma dernier photo:-
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Soudainement,
sans avertissement, la police municipale de
Beausoleil m'a attaquée par derrière.
J'ai été menotté à la
main et poussé violemment dans une voiture
de la police municipale. J'ai demandé
pourquoi. "Vous êtes saoul",
fut la réponse.
Moi,
ingénieur semi-retraité de 73 ans,
j'étais ivre dans la rue à 14h15
un jeudi après-midi? Je
n'étais pas ivre! J'ai prit des
photos.
J'ai
été amené au bureau de la
police municipale de Menton sans aucune (!)
interrogation. Je me demande si le policier de
Beausoleil O12P55 (ils ne donnent pas leurs
noms) dans la voiture de police ABC636KC
était impliqué. Il m'avait
menacé le 25 septembre de me menotter et de
m'amener à Menton, lorsque je me suis plaint
de son comportement dans une autre affaire.
Je viens
d'être jeté dans une cellule en
sous-vêtement. Tous mes autres biens ont
été pris de moi. Aucun
enregistrement n'a été fait!
J'ai
demandé la police d'appeler un
interprét Suédois (je suis citoyen
suédois), mon avocat à Nice, mon
docteur (ma fille est médecin à CHPG
à Monaco) et informer l'ambassade de
Suède à Paris. Tous sont
refusés.
Au bout d'un
moment, la porte de la cellule s'ouvrit et on me
demanda de souffler dans une machine. Quelqu'un a
dit que j'étais ivre! J'ai demandé
à appeler ma fille mais c'était
interdit! J'étais ivre. Retour dans la
cellule. Ensuite, j'ai été
emmenée à l'hôpital pour un
examen médical, car je saignais à
cause des menottes. J'ai demandé au
médecin d'appeler ma fille à
l'hôpital de Monaco. Non, pas possible
J'étais ivre. Il n'y avait pas de bilan
médical. Pas de test de sang.
Je suis vite
rentré dans la cellule. J'ai demandé
pourquoi. La réponse était que
j'étais saoul! Après quatre heures
dans la cellule, la porte a été
ouverte et on m'a demandé de souffler
à nouveau dans une machine.
J'étais encore saoul. Tous ces gens
qui me maltraitaient ont refusé de dire qui
ils étaient.
À 21 h 30,
de nouvelles personnes ont ouvert la porte de la
cellule: la police nationale
française! La police municipale était
rentrée chez elle. On m'a demandé de
souffler dans une machine et on m'a dit que je
n'étais pas ivre. Il me suffisait de signer
des papiers pour m'avoir saoulé 14h15. Si je
ne signais pas, j'allais être enfermé
dans la cellule jusqu'au lendemain matin. Alors
j'ai signé. Ensuite, on m'a jeté dans
la rue et je suis rentré chez moi. La vie
est pleine de surprises.
Le lendemain,
vendredi 4 octobre, le chaos était
à nouveau dans la rue. Le rond-point a
asphalte frais! La circulation a été
bloquée pendant des heures et aucun policier
n'a été vu.
Je suis
allé voir le gorille, mais seul son
ami incompétent, le singe,
était là - parlant au
téléphone! Il m'a reconnu de
hier et m'a souri.
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J'ai bien bien sûr alerté le maire de
Beausoleil, M. Gérard Spinelli (7
octobre) et le préfet des Alpes Maritimes,
M. Bernard Gonzalez (8 octobre), mais je
n'ai pas eu de leurs réponses.
Peut-être est-il normal que leur police saute
sur des gens dans la rue et les jette en
prison?
Allais-je
être accusé conformément
à l'article 689-4 du CPP français: la
Convention sur la protection physique des
matières nucléaires ou à
l'article 689-5 du CPP français: la
Convention pour la répression d'actes
illicites contre la sécurité de la
navigation maritime et le Protocole pour la
répression d'actes illicites contre la
sécurité des plates-formes fixes
situées sur le plateau continental? J'ai
beaucoup écrit sur ces questions et diverses
autorités ne m'aiment
pas!
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6th November
at Beausoleil/Menton
The 6th November
M JORKMAN ANDERS (it is me) received a
letter (ref. Budget 30400 Exercise 2019 N°
bordereau 229 N° Titre 1604) from French
Public Finance Authority dated 14th October but
post stamped 29th October to pay €150:- for having
been obviously drunk in public (ivresse
publique et
manifeste)
on 3rd October at Beausoleil. It was issued by the
Commune de Beausoleil, 27 boulevard de la
Republique, 06240 Beausoleil and signed P/O le
Maire Gerard DESTEFANIS P/O le Maire.
As I wasn't drunk
on 3rd October I contacted M. DESTEFANIS at
the given address on 6th November 13.00 hrs. He
wasn't there. Instead I was asked by his assistant
to talk to the Director of the Police
Municipal next door that was informed that
I was coming. So I went to see the Director
of the Police Municipal. At the Office of
the Police Municipal I was told the Director wasn't
there, instead I was arrested (!) by two municipal
police men and brought to the Commissariat de
Police, 9, rue Partoveaux at Menton and there being
accused of being drunk in public.
One of them told
me I had physically hit him on the breast on 3rd
October at Beausoleil and that he hadn't filed a
complaint against me then. This was news to me. I
hadn't hit anyone on 3rd October. I was attacked
from behind by the police.
Anyway, at Menton
I was asked to blow in a machine and I was told I
had 0.23 g/l alcohol in my blood. I agreed. I had
only drunk two glasses of wine at lunch and then
walked to see M. DESTEFANIS to tell him I
was not going to pay €150:- . Of course I wasn't
drunk. After a couple of hours at Menton I was
allowed to leave. I didn't sign any papers. I asked
to make a complaint about being brought to Menton
by the Police Municipal, Beausoleil, and was asked
to return the following day. I will not do so.
Instead I will ask assistance by Monsieur l'Officer
du Ministère Public, Commissariat de Police,
1 avenue du Maréchal-Foch, 06000
Nice.
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6 novembre
à Beausoleil/Menton
Le 6 novembre, M.
JORKMAN ANDERS (c'est moi) a reçu une
lettre du 14 octobre (réf. Budget 30400,
exercice 2019 N ° bordereau 229 N ° Titre
1604) de la Centre des finances publiques
française, poste timbré le 29
octobre, à payer 150 €:- pour avoir
été manifestement saoul public
(ivresse
publique et
manifeste)
le 3 octobre à Beausoleil. Il a
été émis par la Commune de
Beausoleil, 27 boulevard de la République,
06240 Beausoleil et signé P / O le Maire,
Gérard DESTEFANIS P / O le Maire.
Comme je
n'étais pas ivre le 3 octobre, j'ai
contacté M. DESTEFANIS à
l'adresse donnée le 6 novembre à 13
heures. Il n'était pas là. Au lieu de
cela, son adjoint m'a demandé de parler au
directeur de la police municipale
d'à côté qui a
été informé de mon
arrivée. Je suis donc allé voir le
directeur de la police municipale. Au bureau de
la police municipale, on m'a dit que le directeur
n'y était pas. J'ai été
arrêté (!) par deux policiers
municipaux et amené au Commissariat de
police, 9, rue Partoveaux à Menton,
accusé d'être en état
d'ébriété en
public.
L'un d'eux m'a
dit que je l'avais frappé physiquement au
sein le 3 octobre à Beausoleil et qu'il
n'avait pas porté plainte à ce
moment-là. Ce fut nouveau pour moi. Je
n'avais frappé personne le 3 octobre. J'ai
été attaqué par
derrière par la police.
En tout cas,
à Menton, on m'a demandé de souffler
dans une machine et on m'a dit que j'avais 0,23 g/l
d'alcool dans le sang. J'ai été
d'accord. Je n'avais bu que deux verres de vin au
déjeuner puis je suis allé voir M.
DESTEFANIS pour lui dire que je n'allais pas
payer 150 €: -. Bien sûr que je
n'étais pas saoul. Après quelques
heures à Menton, j'ai été
autorisé à partir. Je n'ai
signé aucun papier. J'ai demandé
à la police de Menton de porter plainte
contre la police municipal à Beausoleil mais
on m'a demandé de revenir le lendemain. Je
ne le ferai pas. Au lieu de cela, je demanderai
l'assistance au Monsieur l'Officer du
Ministère Public, Commissariat de Police, 1
avenue du Maréchal-Foch, 06000
Nice.
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Public manifestive
drunkenness in France
In French criminal law,
public and manifestive
drunkenness (IPM) is an offense
provided for by the public health code
repressing drunkenness on public roads. This
offense does not sanction a level of alcohol,
but an alcoholic state which represents a risk
for other people or for the drunk person
himself, and which creates a disturbance to
public order.
This provision is created by the law of
January 23, 18732, also called Theophilus
Roussel law established under the pressure of
the hygienist current. It was incorporated in
Article L. 76 of the code of debits of drink by
the decree of February 8, 1955, then
reorganized, several times, by laws, ordinances
and decrees. The procedure involves three stages
in 2019: police time
(questioning, driving in the hospital, placement
in a sobering room, hearing), hospital
time that has become established over
the years (medical examination and issuance of a
" non-hospitalization report "when the person's
condition is compatible with the detention) and
finally, judicial time
(requisitions of the public prosecutor's
officer, decision of the local judge to the
offender who incurs a second class offense
).
Of course I was not drunk on
October 3 and November 6, 2019 in Beausoleil and
didn't disturb any public order, I did not spend a
time in hospital and I did not meet a judge of
proximity. The question is - why did the director
of the municipal police in Beausoleil arrest me
twice? To be continued.
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Ivresse
publique et manifeste en France
En droit pénal
français, l'ivresse publique et
manifeste (IPM) est une infraction
prévue par le code de la santé
publique réprimant l'état
d'ébriété sur la voie
publique. Cette infraction ne sanctionne pas un
niveau d'alcool, mais un état alcoolique
qui représente un risque pour d'autres
personnes ou pour la personne ivre
elle-même, et qui crée un trouble
à l'ordre public.
Cette disposition est créée
par la loi du 23 janvier 18732, appelée
aussi loi Théophile Roussel
établie sous la pression du courant
hygiéniste. Elle a été
incorporées à l'article L. 76 du
code des débits de boisson par le
décret du 8 février 1955, puis
réaménagée, à
plusieurs reprises, par voie de lois,
dordonnances et de décrets. La
procédure comporte en 2019 trois temps :
un temps policier
(interpellation, conduite à
l'hôpital, placement en chambre de
dégrisement, audition), un
temps hospitalier qui sest
imposé au fil des ans (examen
médical et délivrance d'un «
bulletin de non-hospitalisation » lorsque
l'état de la personne est compatible avec
la rétention) et enfin, un
temps judiciaire (réquisitions
de l'officier du ministère public,
décision du juge de proximité
envers le contrevenant qui encourt une
contravention de 2e classe).
Bien sûr je n'étais
pas ivre le 3 octobre et le 6 novembre 2019
à Beausoleil pour créer un trouble
à l'ordre public, je n'ai pas passé
un temps hospitalier et je n'ai rencontré un
juge de proximité. La question est -
pourquoi le directeur de la police municipale
à Beausoleil m'a arrété deux
fois? A suivre.
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The 16 March
2021 Mme J. Bioulac, hussier at Beausoleil,
gave me a letter dated Nice 19 February 2021
by the Police of Nice. I was ordered to attend a
meeting 19 April 2021, 14.00 hrs at Chambre
1 of Tribunal de Nice, Place du Palais 06000 Nice,
to discuss above matter.
Dossier no.
20/00049470.
I will of course
attend the meeting 19 April 2021 to explain
that I wasn't drunk on 3 October 2019 after
tennis. The police have no medical and legal
evidence to this effect. I actually asked for a
blood test and legal assistance, which were
refused!
I will also show
that by letter dated 14 October 2019
received 6 November by me, the Police at
Menton/Nice asked me to pay €150:- for being drunk
twice (!), i.e. on 3 and 14 October 2019!
I have of course
(i) the 7 November 2019 paid the fine €150:-
by cheque No. 2077831 of my bank CIC Lyonaise de
Baque and (ii) by letter of 7 November 2019
to the Police at Nice, I protested against the
fine and asked to be reimbursed. No reply! The
cheque has been cashed by the Police 20 November
2019.
On 29 January
2021 I received a new letter from the Police at
Nice to pay €181:- . By letter of 1 February
2021 to the Police at Nice I explained that I
had already paid €150:- in November 2019
expecting to be reimbursed. No reply!
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Le 16 mars
2021 Mme J.Bioulac, hussier à
Beausoleil, m'a remis une lettre de la police de
Nice datée du 19 février 2021
à Nice. On m'a ordonné d'assister
à une réunion le 19 avril 2021,
à 14 heures, à la Chambre 1 du
Tribunal de Nice, Place du Palais 06000 Nice, pour
discuter de la question ci-dessus.
Dossier no.
20/00049470.
J'assisterai bien
sûr à la réunion du 19 avril
2021 pour expliquer que je n'étais pas
ivre le 3 octobre 2019 après le
tennis. La police n'a aucune preuve médicale
et juridique à cet effet. J'ai en fait
demandé une prise de sang et une assistance
juridique, qui ont été
refusées!
Je montrerai
également que par courrier du 14 octobre
2019 reçu par mes soins le 6
novembre, la police de Menton / Nice m'a
demandé de payer 150 €: - pour avoir
été ivre deux fois (!), soit les 3
et 14 octobre 2019!
J'ai bien entendu
(i) payé le 7 novembre 2019 l'amende
de 150 €: - par chèque n ° 2077831 de
ma banque CIC Lyonaise de Baque et (ii) par lettre
du 7 novembre 2019 à la police de
Nice, j'ai protesté contre le amende et
demandé à être
remboursé. Pas de réponses! Le
chèque a été encaissé
par la police le 20 novembre 2019.
Le 29 janvier
2021, j'ai reçu une nouvelle lettre de
la police de Nice pour payer 181 €: -. Par lettre
du 1er février 2021 à la
police de Nice j'ai expliqué que j'avais
déjà payé 150 €: - en
novembre 2019 en attendant d'être
remboursé. Pas de
réponses!
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19 avril
2021
By letter
19/02/21 I was asked to attend court
proceedings 19/04/21.
I attended the
police court at Nice and I explained to the
President (see letter right) that I wasn't drunk
outside my house as alleged 3 October 2019.
I was just taking photos.
The President
explained to me that he had two
written testimonies to the effect that I was dead
drunk 3 October 2019 in the afternoon,
making a fool o myself in the street. Even if I was
sober.
One was by an
anonymous Beausoleil municipal police agent and one
by an anonymous doctor at a Roquebrune hospital.
I asked the
President for copies of these written documents,
which was refused.
I asked the
President about any other evidence to this effect,
i.e. blood tests, etc.
The President
explained that blood tests were not required, only
written letters by witnesses weeks after the
incident were sufficient!
Some weeks later
after this encounte I got a letter dated
04.05.21 from the Tribunal Judiciare de Nice
that it was better I paid €189:- to avoid serious
trouble.
What did I do? I
paid.
Why?
I never argue
with idiots especially not government idiots. It is
much cheaper just to pay.
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19 avril
2021
Par lettre du 19/02/21,
on m'a demandé d'assister à la
procédure judiciaire le
19/04/21.
J'ai assisté au tribunal
de police de Nice et j'ai expliqué au
Président (voir lettre en bas) que je
n'étais pas ivre devant chez moi comme
prétendu le 3 octobre 2019. Je
prenais juste des photos.
Le Président m'a
expliqué qu'il avait deux témoignages
écrits selon lesquels j'étais ivre
mort le 3 octobre 2019 dans
l'après-midi, me ridiculisant dans la rue.
Même si j'étais sobre.
L'un par un agent anonyme de la
police municipale de Beausoleil et l'autre par un
médecin anonyme d'un hôpital de
Roquebrune.
J'ai demandé au
Président des copies de ces écrits,
ce qui m'a été
refusé.
J'ai interrogé le
Président sur toute autre preuve à
cet effet, c'est-à-dire des analyses de
sang, etc.
Le président a
expliqué que les tests
sanguins n'étaient pas
nécessaires, seules des lettres
écrites par des témoins des semaines
après l'incident étaient suffisantes
!
Quelques semaines plus tard,
après cette rencontre, j'ai reçu une
lettre datée du 04.05.21 du Tribunal
Judiciare de Nice qu'il valait mieux que je paye
189 € : - pour éviter de graves
problèmes.
Qu'est-ce que j'ai fait? J'ai
payé.
Pourquoi?
Je ne discute jamais avec des
idiots, surtout pas avec des idiots du
gouvernement. C'est beaucoup moins cher juste de
payer.
LOfficier du Ministre Public
Pres. Le Tribunal de Police de Nice
1 Av. du Marechal Foch
06000 Nice
Re : Dossier n° 20/00049470
Audience du 19/04/2021 14 hr. Chambre 1
MM
Merci pour lettre du 19/02/2021. Je
nétais pas ivre publique et manifeste
le 03/10/2019 à Beausoleil 15.00 hr. Je
nai pas de temps hospitalier passé !
Je nai pas de temps dun juge de
proximité. La Police a commis une erreur
!
En tous cas jai payé une amende
€150 :- le 07/11/2019 par cheque n° 2077831 au
Trésorerie Municipal Menton. Le cheque est
encaissé le 20/11/2019. Par lettre au Police
Nice/Foch du 07/11/2019 jai demandé
dêtre rembourse. Pas de réponse
!
Le 29/01/2021 jai reçu un
relève de condamnation de €181 :- Par lettre
au Police Nice/Pl. de Palais du 01/02/2021
jai protesté. Jai
déjà payé. Pas de
réponse !
Voyez mon site web http://heiwaco.com/31019.htm
!
Mon n° fiscal est 1957116863149 et je paye
dimpôts depuis 1980.
Amicalement
Anders Björkman
6 rue Victor Hugo
06240 Beausoleil
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